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Crise et liberté de la monnaie

Une analyse des mécanismes ayant mené à la systématique des crises depuis les années 70 et de l’alternative monnaies libres.

La monnaie serait-elle à l’origine des crises ? La monnaie, traditionnellement gage de liberté des acteurs, d’accès pour tous aux biens de consommation, de développement de l’économie serait-elle devenue l’un des éléments les plus dangereux de notre système ?

La monnaie elle-même ou la façon dont elle a été instrumentalisée ?

Depuis  les années 70, l’économique est en crise. On en parle peu ; chaque crise est présentée comme la première, mais ces chiffres sont toujours aussi éloquents : depuis les années 70, le fonds monétaire a inventorié 147 crises bancaires, 205 crashs monétaires et 72 crises de dettes souveraines.

Pourquoi autant ? Et surtout pourquoi maintenant ?

Dans les années 70, les bouleversements économiques sont significatifs. Chocs pétroliers ; bouleversement des positions relatives des pays sur l’échiquier international; c’est la fin la fin de la croissance euphorique des « 30 Glorieuses » , la fin de la convertibilité du dollar ; affluent sur les marchés des capitaux appartenant à des acteurs ne disposant pas localement de structures économiques. Devant ces remises en question, un nouveau modèle est à inventer. Les Etats-Unis d’abord, puis l’Europe vont se lancer dans une politique de globalisation :

1/ Les Années 70 et 80 : Création d’un marché unique de l’argent au niveau planétaire

3 mots résument les mouvements enclenchés dans les années 70 aux Etats-Unis, puis dans les années 80 (86 et 87) en Europe : Décloisonnement, désintermédiation et déréglementation.

  • Décloisonnement : Tous les marchés deviennent interconnectés ; il n’y a plus de séparation entre marchés long terme et court terme, entre banques de flux et banques d’affaires, marchés de changes et de taux… Au niveau international et économique, les marchés financiers et de fait les économies deviennent interconnectés.
  • Désintermédiation : c’est la fin de l’intermédiation bancaire : historiquement le banquier était l’acteur économique permettant de transformer l’épargne des ménages en capacité de financement ; désormais les acteurs peuvent directement se rencontrer via les marchés.
  • Déréglementation : les règles encadrant le crédit, le contrôle des changes, tout ce qui limite la liberté de transaction et de circulation des capitaux sont supprimés.

L’objectif se voulait positif à défaut d’être vertueux : dans un monde industrialisé craignant de voir se ralentir la croissance exceptionnelle des 30 Glorieuses, voyant, après le 1er choc pétrolier, l’allocation des richesses risquer de changer de mains aux profits des pays producteurs de pétrole, il s’agissait, par la facilitation de l’accès aux moyens de financement, de redonner à l’économie les moyens de la croissance.

2/ Sous les bénéfices immédiats, les effets pervers sont multiples

Et en effet, ces mesures permettent d’améliorer les conditions de financement des acteurs par :

  • Un accès facilité aux ressources (les acteurs excédentaires en capitaux situés dans certains pays comme le Moyen Orient peuvent directement financer l’économie d’autre pays), mais auss bien sur placer leurs capitaux au meilleur taux ;
  • Une diminution du coût de l’argent : la mise en concurrence directe permet de se financer au meilleur coût ;
  • Une augmentation des échanges : l’interconnexion des marchés financiers va s’étendre aux marchés commerciaux…

En revanche les effets pervers sont nombreux :

  • Sur les acteurs
  • Sur la monnaie

Les acteurs, en particuliers les banques, voient leurs positionnements exclusifs disparaitre et en particulier leurs marges fondre sur leurs métiers traditionnels de banques de dépôt et banque de prêt.

Elles vont donc chercher à maintenir leur marge. Pour ce faire, puisqu’elles aussi y ont droit, elles vont adopter sur ces nouveaux marchés qui leurs sont ouverts de nouveaux positionnements : de conseil, en valorisant leur expérience auprès des nouveaux acteurs, de facilitateurs, en transportant les flux de capitaux nécessaires et surtout d’investisseurs en investissant, émettant, spéculant pour leur propre compte.

Elles endossent simultanément toutes les fonctions qu’offrent ces nouveaux marchés. Mais dans un contexte concurrentiel, maintenir ses marges implique augmenter ses risques. De là un facteur de forte fragilisation des banques.

Les emprunteurs voient leur accès au crédit s’ouvrir, à un coût moindre et à des conditions incomparablement moins rigoureuses. L’accès au crédit permet l’investissement, le développement. En même temps, la fiabilité des acteurs est beaucoup moins garantie, l’accès aisé au financement génère la multiplication des transactions, sans commune mesure avec la capacité de remboursement des acteurs, ménages, entreprises, banques, pays…

Les investisseurs peuvent espérer tirer le meilleur parti de leurs ressources et ne vont pas s’en priver. Le corolaire est l’amplification de la course aux rendements. L’accès aisé aux marchés associé à cette recherche de rendement mène à une extrême volatilité des capitaux, passant d’un pays ou d’une monnaie à l’autre, puis d’un actif à l’autre (action, obligation, monnaie…) en quelques secondes.

3/ La monnaie : d’une monnaie neutre, dépôt, refuge à une monnaie valeur, reflet et vecteur d’instabilité.

Historiquement, la monnaie est un gage de stabilité : elle est neutre. Elle est censée être un instrument d’échange et de réserve. Sa valeur est le reflet des actifs qu’elle permet d’obtenir. Sa masse globale est le reflet des dépôts effectués auprès des intermédiaires (banques). Les banques, de par leur rôle d’intermédiaire, sont elles aussi censées être garante de la qualité de la monnaie

Dans le système actuel, tous les marchés et surtout toutes les monnaies sont interconnectés. La monnaie devient Une, car toutes les monnaies des pays intervenant sur les marchés internationaux peuvent être vendues ou échangées.

Parallèlement la monnaie est devenue le bien central sur ces marchés. Elle n’est plus seulement un instrument facilitant les transactions, elle est elle-même devenue valeur. Valeur car possédant la propriété de liquidité, immédiate ou non, propriété quantifiée par son taux d’intérêt.

Elle devient de ce fait une valeur cédée sur les marchés comptants, à terme, puis dérivés, les plus complexes et les plus volatils.

C’est à ce moment charnière que ce qui fait la masse monétaire n’est plus la somme des dépôts, reflet de l’épargne concentrée chez les intermédiaires, mais la somme des crédits, consentis par les acteurs. Ces derniers deviennent créateurs de ce fait eux même de monnaie par la notion de titrisation et fixent sa valeur via le taux d’intérêt qui va être affecté à la nouvelle masse monétaire créée. Le taux d’intérêt devrait idéalement être marqueur à la fois du degré de liquidité et de sécurité de la nouvelle création monétaire. Dans les faits, la volonté constante des acteurs de maximiser leurs marges faussera cette valorisation.

Cette monnaie objet d’échange perd ainsi sa substance d’origine.

4/ D’une monnaie captive de la financiarisation de l’économie aux monnaies libres

Devenue monnaie valeur et marchandise, la monnaie a permis de générer une croissance alternative à la croissance économique traditionnelle ; c’est ce que l’on appelle la financiarisation de l’économie.

Mais ces marchés sont fragiles, cycliques ; les accidents, krachs, crises sont légion; ils interviennent dans tous les pays et leur internationalisation fait qu’une crise gagne très rapidement l’ensemble de la planète.

La monnaie utilisée ici a perdu, en devenant marchandise au sein de marchés multiples, changeant, volatiles, complexes et fragiles les qualités de fiabilité et de refuge qui faisaient sa valeur traditionnelle.

Et pourtant c’est la même monnaie qui est aussi encore utilisée comme outil d’échange et comme refuge de l’épargne.

De ce fait, toute crise du système financier devient crise économique, puis sociale.

Peut-on s’en protéger ? Proposer une alternative à ceux qui ne veulent pas que ce qui est pour eux exclusivement un moyen d’échange soit soumis aux mouvements erratiques générés par l’économie financière ? Comment retrouver des ilots de stabilité ? Protéger les êtres humains qui ont simplement besoin de vivre, se nourrir, bénéficier d’un minimum de confort sans être soumis en permanence aux risques d’explosion du système ?

Les  monnaies libres se veulent une possibilité de solution. Libres car retrouvant l’essence de ce qui fait la monnaie : l’apport de la liberté d’échanger ; libres aussi des marchés internationaux interconnectés et aliénant les acteurs.

Ces monnaies peuvent être de plusieurs types :

  • Monnaies complémentaires, elles sont à l’origine étalonnées par rapport à une monnaie traditionnelle, mais ensuite, n’étant pas échangeables sur les marchés financiers, elles sont protégées et retrouvent leur nature de vecteurs d’échanges. Dans cet esprit, on trouve le WIR, utilisé en Suisse pour se protéger lors des périodes d’instabilité monétaire. Il est échangeable en Franc suisse, mais est ensuite utilisable dans un marché fermé qui n’est pas soumis à la spéculation ; ce peut être le cas des « Linden dollars » de Second Life, qui permettent une fois acquis, d’évoluer dans un marché fermé… attention cependant à ce dernier exemple ; le risque étant la création de marchés parallèles.
  • Monnaies primaires ou indépendantes. Déjà dans leur élaboration, elles se veulent sans lien avec les monnaies traditionnelles.  Leur objectif est de se poser en alternative, pour permettre un retour à l’essence du rôle de la monnaie en tant que moyen d’échange et de refuge,  sans risquer de retomber dans des travers spéculatifs. En effet le lien avec la monnaie, même non formalisé, peut permettre l’émergence de marchés spéculatifs.

Ce sont donc des monnaies novatrices, qui n’ont pas forcément vocation à protéger un environnement limité.  Au contraire, la non convertibilité étant leur moyen de protection, l’objectif de leurs créateurs serait de créer des moyens de diffusion et d’échanges les plus larges possible de ces monnaies. Idéalement transnationaux en usant des moyens dématérialisés actuels comme internet.

La difficulté  est de légitimer ces monnaies afin d’en faire de véritable vecteurs d’échange et de proposer une alternative réelle au système monétaire actuellement en vigueur.

Les miles des compagnies aériennes sont un exemple intéressant, car pérenne et sans possibilité de spéculation, mais sur un marché fermé, ce n’est pas vraiment un modèle pouvant se généraliser.

Des systèmes plus intéressants comme le « Time Banking », échange de temps qui se développe aux Etats-Unis dans les zones où le chômage fait le plus de ravages et où les gens sont riches de temps, ou le « Bitcoin », inventé en 2009 par un informaticien japonais Satoshi Nakamoto pour valoriser la mise en réseau d’ordinateurs permettant d’effectuer des calculs mathématiques complexes…

L’intérêt est aussi que ces monnaies restent à inventer… et à développer ! La limite n’est pas l’imagination, mais la capacité de tous à mettre les différents acteurs en relation sans laisser les mécanismes de profit et de pouvoir reprendre la main !

Laurence LASSAUT – Décembre 2015

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